La Fleur du desert. (Libre)

L’Ombre marchait depuis un bon moment maintenant, il était a la recherche d’une fleur assez rare qui ne poussait que dans des milieux désertique comme celui-ci, elle servait a la fabrication d’un puissant baume de soin… Le soleil tapait fort et le sable s’étender a perte de vue, au loin on pouvait voir une tempête s’éloigner, cette dernière avait surpris l’Ombre en plein milieu de la nuit… une mauvaise nuit… Mais il continuait, déterminer comme jamais, il avait assez de nourriture et d’eau pour tenir encore une semaine !!! Et au pire il utiliserait la magie…

Donc il marcher encore et encore, dune âpres dune, puis le sable disparut pour laisser la place a une terre dessécher et craquer dans tout les sens. Il préférait marcher dans le sable, sa faisait moins mal et le paysage était moins désespérant que celui-ci… mais c’était sur cette terre de désolation qu’il avait une chance de trouver son ingrédient, mais pour l’instant seul de petits arbustes et quelques cactus était visibles.

Au bout d’une heure de marche sur se sol dur, il aperçu au loin quelques arbres, surement une oasis !!! Il s’approcha et fit la découverte d’un ancien point d’eau, on devinait facilement l’étendue d’eau ainsi que les quelques arbres qui avait poussé juste à coter… mais maintenant l’au n’était plus et les arbres mourrait…

Le soleil brûlant tapait comme une pierre chauffée à blanc sur ma tête. Le vent, ou la brise devrais-je dire, était sèche et dénuée de la moidre parcelle de fraicheur. L'humidité n'existait pas à cet endroit, et encore moins le froid, sauf à l'ombre des dunes. Je marchais sans penser vraiment depuis quelques jours, mais je ne savais pas vraiment pourquoi. Mes pattes me guidaient un peu n'importe où, si bien que je m'étais perdue après la deuxième journée de chasse. Ouai, j'étais en train de traquer un mulot quand celui-ci c'était enfoncé dans un trou dans le sable. Je m'étais tournée et retournée, mais je ne voyais pas la ville. Et puis soudain, une tempête de sable c'était annocée. Je me suis cachée du mieux que j'ai pu pendant que les violentes bourrasques fouettaient les obstacles alentour. Le mouvement de l'air avait alors effacer mes traces de pas et mon odeur, ainsi que mes chances de retourner chez moi. J'étais aussi trop loin pour tenter de contacter Akimori.

Le ciel dépourvu de nuage était d'un bleu azur. Aucun son ne se faisait entendre et un silence chaotique reignait. Je frissonaui malgré la chaleur étouffante. Je commeçais à désespérer. J'avais aussi très soif. J'étais arrivée à un ancien oasis. En creusant un peu, je réussi à obtenir un peu d'eau sale et boueuse, mais c'était mieux que rien. Encore sous ma forme féline, j'entrepris de continuer mon puit miniature et lorsque j'eue assez de liquide pour pouvoir étancher mon envie de boire, je m'accroupis dedans, le laissant me raffraîchir. Un chance qu'un arbre rabougris s'étendait juste devant le chemin des rayons du soleil.

Soudain, des bruits de respirations se firent, Je tournai la tête vers sa source et découvrit un "homme". Je sentis mon pelage se hérrisser dans mon dos et mon instinct me dictait de mon tapir le plus possible dans ma cachette, ce que je fis sans plus attendre.

* Pourvu qu'il ne me voit pas *

Pensais-je en tremblant. je ne savais aucunement l'indentité du type, mais il ne semblait pas gentil.

[ UP ]

[ Je me tape l'incrusteuh ... ]

Evä haletait, si tel était le mot pour un chat garou ... Elle détestait le désert depuis toujours.

Des dunes, infinies, éternelles, à perte de vue.
Un soleil, transformant le sol fournaise, rendant l'air plus étouffant encore.
Du vent, infatigable, qui emmêlait les pelages.
Du sable, d'un seul orange, qui fouettait les pattes et se logeait dans les yeux.

Evä n'était pas très difficile à vivre mais si il y avait une chose qu'elle détestait plus que tout c'était bien le désert et son insupportable monotonie ... Ici, l'avenir était toujours incertain, chaque dune pouvait révéler un cadavre, un os, un charognard ... La chatte garou toujours aussi calme qu'à son habitude, ne laissait rien apparaitre, mais, pourtant, elle tempêtait intérieurement. Pourquoi s'était-elle jetée dans la gueule du loup, dont les crocs de sable luisaient sous le soleil du désert ? Pourquoi ? Au fond, c'était trop bête ...

Si le désert est mesquin, il peut parfois offrir d'agréables surprises, comme une petite mare et une large dune offrant de l'ombre. Evä eut la chance de tomber sur un petit oasis, où elle se désaltéra. L'eau était trouble et laissa dans la bouche de la féline un arrière gout de sable, crissant sous ses dents. Malgré tout, après cette pause, elle se sentit un peu mieux et se décida à repartir. Avant, elle entama une longue toilette. Avec lenteur, tous les grains de sable furent chassés.

Mais quelques instants plus tard, alors qu'Evä marchait, sa fourrure redevint aussi sableuse qu'auparavant. La chatte-garou était furieuse, elle se contenta d'esquisser une moue rageuse. Pas plus. Dorénavant, sous le soleil, le temps était compté. Autant s'économiser. Plongée dans ses pensée, Evä entendit à peine un crissement à coté d'elle. Tournant la tête sans grand espoir, ce qu'elle vit la surpris plus qu'elle ne s'y attendait. Là, devant elle, une deuxième chatte garou ainsi qu'un humain vacillant sous la chaleur, se tenaient, attentifs.

C'est le genre de chose auquel on ne s'attend pas. Soudain, l'humain tomba à plat ventre dans le sable. Il ne se releva pas. Evä oublia l'autre féline et se précipita. Elle le tira avec un certain dégout - elle n'aimait pas les humains - jusqu'à l'ombre dérisoire d'une dune. Il empestait la sueur, comme tous les humains dans son cas. Son visage était rouge, victime du soleil. Evä se leva, laissant là l'inconnu. Son devoir moral s'arrêtait là, elle n'allait pas s'apitoyer sur un bipède, ils étaient déjà bien assez nombreux !

C'est là que l'image de l'autre chatte-garou lui revint, elle se figea, entendant un crissement derrière elle, probablement l'incconue en question.

Il n’aurait jamais pus imaginer se qui était entrain de se passer, il venait de remplir sa gourde et était prêt a repartir lorsqu’il vit un homme s’effondrait un peu plus loin. L’Ombre ne pouvait l’aider, il aurait était un poids fatale dans cette immense désert. Mais alors qu’il s’apprêtait à repartir, deux chats étaient apparus. L’un était blanc et avait le pelage trempé, il avait surement du se baigner dans l’oasis pour se rafraichir et l’autre était un chat d’un noir de jet… mais le plus stupéfiant c’est lorsqu’il vit le chat noir trainer l’homme jusqu'à l’ombre. D’abord un chat mouillé et ensuite un deuxième chat qui avait fait preuve de compassion en trainant un homme… il ne pouvait se tromper, Silvius faisait face à deux chats garrous. Il ne gardait pas que de bon souvenir d’eux, il avait déjà rencontré deux autres « chats » auparavant, une avait osé insulter Galbatorix et l’autre lui avait transpercé le crane d’une dague. Mais il osa quand même s’avancer, une main sur le sabre et il était prés à combattre… bien qu’il se devait d’économiser ces forces. De plus près il se rendit conte qu’il n’y avait que des femelles.

-Je ne me serais jamais attendu a rencontrer deux chattes garrous en même temps, et surtout ici…

Je fixais l'Ombre dans l'espoir qu'il ne me voit pas. Ma fourrure blanche tachér de boue brunâtre m'offrait un camouflage assez médiocre. Mon pelage était plaqué contre mon corps fin et élancé, tout comme les grains de sables qui me collaient de partout. Des bruits de pas venant de vers ma gauche me firent tourner la tête. J'aperçu un humain, qui fit quelques pas avant de s'éffondrer. Un chat noir se précipita alors pour le tirer dans un coin plus sombre, en dessus d'un arbre rabougris. Je détaillai le nouveau venu, ou plutôt, la nouvelle venue. En y sondant son esprit, je sentis une espèce de barrière que je n'osai pas franchir. C'était une chatte garou et je préférais ne pas entrer dans son intimité.

Je reportai mon regard sur le bipède qui ne semblait guère gentil. Son aura était très significative de ce qu'il était, un Empirien. Seules les âmes remplies d'autant de haine et de méchanceté étaient de leur côté. Ou elles alors elles n'avaient rien à perdre. Mon pied glissa sur une petite bosse et un crissement retentit dans l'air. Je sentis les qu'on m'avait entendu. Je reculai le plus possible, mais je rencontrai un mur humide, mais chaud. Je rentrai dans l'espris de Silvius juste pour savoir ses intentions, mais il le perçu vite, en fermant aussitôt l'accès.

* Hé ! Ça te fait quoi qu'on soit des femelles !?! *

Pensai-je en émettant un miaulement de protestation.

Je ne me serais jamais attendu a rencontrer deux chattes garrous en même temps, et surtout ici…

Je sortis de ma cachette improvisée en escaladant le petit tas de saleté de pierre. Je me secouai énergiquement comme tout les félins normaux et braquai mes yeux bleus-violet-très-pâles-presque-gris de peur sur l'inconnu. Je me transformai en humaine, ne gardant aucune caractéristique animale. Assise en indien sur le sol brûlant, simplement vêtue d'une tunique lilas, la tête baissée, jouer la fillette perdue était mon plan...

¤ Je traquais une souris, puis je me suis égarée. ¤

Evä s'assit. Elle enroula délicatement sa queue autour de ses pattes. Un petit ronronnement amusé, trop discret pour être perçu par des oreilles humaines, s'éleva. Un ombre, deux chat-garoux ... Qui pourra croire que, dans cette immensité de sable, trois êtres parviendraient à se trouver ? Etait-ce le hasard ou le destin ? Chacun y allait de son commentaire. La féline s'approcha. Elle passa devant le nouveau venu et frémit. Il dégageait quelque chose de mauvais. Une aura maléfique, glaciale malgré la chaleur du désert. Evä savait que cette prestance insensible et malveillante était propre aux ombres, pourtant, elle ne s'y habituait pas. D'un pas tranquille, la chatte-garou s'écarta et s'ébroua. Du sable jaillit de sa fourrure noire. Les yeux verts se posèrent sur la petite féline blanche puis sur l'ombre :

" Je ne m'attendais pas non plus à rencontrer quelqu'un dans ce maudit désert. Encore moins un chat-garou et ... un ombre. "

La situation était trop ... étrange. Evä détailla les deux inconnus. De toute évidence, aucun d'eux n'allait engager de combats. Premièrement parce que la chatte-garou blanche ne montrait aucun signe d'agressivité, elle devait donc être neutre. L'ombre devait en être arrivé à la même conclusion. Dans ce cas qui risquerait sa peau pour rien ? Dans un milieu moins hostile, l'ombre aurait peut-être tenté quelque chose, par pure gourmandise. Mais il était probablement affaiblit, lui aussi.

Evä, qui n'en pouvait plus de cette chaleur, constata que le soleil touchait presque l'horizon. Il se couchait. La nuit arriverait, la froid s'installerait. En attendant il faisait un peu meilleur. C'était toujours insupportable, mais cela ne durerait pas. La fraicheur allait s'installer. Dans ce désert les températures haussaient et décroissaient à des vitesses effroyables.

La première chatte garou c’était transformée en petite fille, mais une petite fille qui pouvait vous ôtez la vie avec facilité, de sa il n’en doutait aucunement.

-Je traquais une souris, puis je me suis égarée.

-Ho-Ho !!! Je ne savais pas qu’un chat garou pouvait se perdre, et encore moins a cause d’une sourie… surtout dans se désert…

Cette histoire était trop énorme pour que se soit vrai, comment un être magique pouvait se perdre en chassant une sourie, surtout pour se retrouver ici !!! Peut-être que c’était un mensonge ou peut être pas, Silvius ne chercha pas a approfondir puisque chacun avait le droit de faire se qu’il voulait…
La deuxième chatte ne réagis pas tout de suite, on aurait dit qu’elle se déplaçait avec une lenteur calculé, elle s’avança un peu, se stoppa et s’ébroua pour enlever se maudit sable qui s’infiltrait partout !!!

-" Je ne m'attendais pas non plus à rencontrer quelqu'un dans ce maudit désert. Encore moins un chat-garou et ... un ombre. "

Elle avait deviné plutôt vite, surement parce qu’il n’était pas le premier que la chatte garou rencontrait…

-En effet je suis une Ombre mais je n’ai aucune intension mauvaise à votre égard !!!

Il sourit et mit un genou a terre avant de réciter quelque mot en ancien langages, de l’eau sortit soudain du sol, il fit semblant de remplir sa gourde qui était déjà pleine et d’un geste, fit comprendre aux deux chattes que si elles en avaient envie, elle pouvait si abreuver…

-Puis-je me permettre de vous demander se qui vous amènes ici ?

L'ombre de pencha, il récita quelques mots en ancien langage. Evä comprenait parfaitement ces mots. Si il y avait une chose qu'elle aimait, c'était bien les langues. Elle connaissait la plupart des dialectes dont l'urgal, l'humain, le chat garou, bien sûr, mais aussi l'ancien langage, le nain, le gobelin, la sriik et beaucoup d'autres ... Bien qu'elle ne sache pas toute les subtilités de chaque langue, Evä parvenait toujours à se faire comprendre quand elle le désirait. Plusieurs seigneurs lui confiaient souvent des missions en tant qu'ambassadrice, lesquelles étaient majoritairement refusées. Lorsque de l'eau apparut au pied du nouveau venu, la féline ne fut pas surprise. Le liquide, d'abord clair et limpide, se troubla lorsque le sable du désert, si fin et si léger, se souleva.

Evä avait soif. La chaleur était insupportable et l'ombre venait de les inviter, toutes les deux, à se servir. La féline considéra la créature, pensive. Il était évident que jamais un ombre n'aurait fait un tel geste. Jamais. Les ombres étaient redoutablement intelligent, ils savaient où étaient leurs intérêts et c'était souvent ces derniers qui lui poussaient à faire tel ou tel actes. C'est justement en pensant cela qu'Evä se dit qu'elle n'avait rien à craindre. En soi, la féline ne détenait rien de précieux, ni objet, ni codes, ni renseignement résistant. Pas plus qu'elle ne possédait une magie destructrice ou une fourrure de valeur. Enfin, si, elle en savait long sur les choses qui se tramaient mais ne figurait dans aucun registre et n'avait accepté de servir personne. Voilà pourquoi elle n'avait aucun intérêt pour ceux qui étaient les plus puissants magiciens de toute l'Alagaësia. Les objets qu'elle possédaient avait une valeur énorme mais pas pour de piètre humanoïdes ... Certes, nombreux étaient les ombres qui tuaient par pur plaisir. Mais l'instinct d'Evä lui soufflait que ce magicien-là n'avait pas de telles intentions. Elle fut surprise de penser cela.

De sa démarche royale et hautaine de chat, la féline s'avançait d'un pas feutré. Elle se baissa et contempla son reflet dans la flaques. Ses yeux verts brillaient, miroitant sur l'eau trouble. Tranquillement, Evä se baissa et se mit à laper le liquide. Elle but sans retenue car elle savait que, peut-être, l'occasion ne se représenterait pas avant longtemps. Lorsqu'elle eut étanché sa soif, la chatte-garou releva la tête et remercia l'ombre d'un clignement de l'oeil.

Le magicien en question posa enfin une question qui semblait lui trotter dans la tête depuis un certain moment. Evä sourit intérieurement, sa voix de velours :

" Je veux me rendre à Teirm, je préfère couper par le désert. Il semblerait qu'ici, ce soit comme dans mon souvenir : invivable. Je préférait le détour par la Crête, la prochaine fois ... "

Silence. Vent qui caresse les dunes.

" Et ... toi ? "

-" Je ne m'attendais pas non plus à rencontrer quelqu'un dans ce maudit désert. Encore moins un chat-garou et ... un ombre. "

* Chatte *

Pensais-je en reprenant ma forme animale, dans laquelle je me sentais nettement mieux et en sécurité. J'avais vécu toute ma vie avec des loups et mon corps félin leur ressemblait plus que celui d'humain. Mon pelage blanc réflétait la lumière et emmagasinant beaucoup moins de chaleur que celle d'Ëva, qui était noire de jais. Ma queue fine n'était pas comme celle des membres de ma famille adoptive, qui étaient grosses et touffues. De plus, on pouvait facilement me reconnaître, car j'avais un ruban ornée de deux clochettes qui émettaient un léger bruissement aigu attaché à mon oreille droite. Lorsque j'était complètement en fillette, la boucle se déplaçait pour former une sorte de collier, avec au lieu d'une "chaîne" une bande de tissu. Je l'adorais, car elle me rappelait avant, lorsque je vivais dans une tanière. J'étais attirée par tout ce qui brillait ou faisait du son. Puis, je les ramenais à la maison. J'avais décidé d'amener avec moi ces grelots pour que si jamais re revenais, qu'on ne me prenne pas pour une incconue.

Je n'avais jamais entendu parler des Ombres, à part lorsqu'il s'agissait de la zone sombre que créaient toutes choses en bloquant les rayons du soleil. Mais en était un peu perspicace, je pouvais aisément comprendre que le nom faisait référence à une créature du mal, ou de Galbatorix, le dirigeant de l'Alagaësia. Ce dernier prononça une phrase que je ne reconnus pas. Pour ma part, je ne parlais même pas la langue d'ici, préférant utiliser mon esprit pour communiquer. Le seul dilactecte que j'utilisais était celui peu connu des loups, composé entre autre par des positions et des grognements. De l'eau surgit du sol devant Silvius et il y rempli sa gourde. La flaque sembla monter, puis redescendre, ce qui signifiait qu'un objet déjà rempli avait été plongé dedans, dont la bouteille, qui devait être pleine.

Je fronçai les sourcils. J'avais déjà étanché ma soif avec mon trou et je restai où j'étais. Par contre, l'autre femelle s'avança pour y boire. Je m'assis et enroulai ma queue autour de mes pattes, le regard cyan fixer sur eux. J'éatais prête à m'enfuir si un mouvement contre moi était fait, mais mieux valait de garder mes forces si je n'en avais pas besoin.

"Puis-je me permettre de vous demander se qui vous amènes ici ? "

" Je veux me rendre à Teirm, je préfère couper par le désert. Il semblerait qu'ici, ce soit comme dans mon souvenir : invivable. Je préférait le détour par la Crête, la prochaine fois ... Et ... toi ? ""

Je trépignai sur place. Je lui avais déjà répondu, et tant pis pour lui s'il se doutait de quelque chose. L'homme n'avait pas l'air d'être méchant, même si son aura n'était pas des plus pures. Je décidai de rester à ma place.

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